Aux portes de la france. poème de sandrine rotil-tiefenbach.
Aux portes de la france l’enfant devra s’enfuir avant l’aveugle, le barbare tribunal, en plein cœur de la rue parmi larmes et dédales sa bouche nue déjà en sang de la langue seule qu’il a connue et des enfants de son école de sa mémoire les farandoles on lui a dit ces temps actuels avec ta mère file au grand loin, cette terre promise